Pareto, Molinari et le magnétisme à Cahors
Molinari est un économiste de l’école libérale française, défendant des thèses ultra-libérales[1]. Pareto, et c’est la raison qui le pousse à admirer cet économiste, développe les mêmes idées. « Je suis de l’avis de Molinari, le mieux pour le libéralisme[2], c’est d’instruire le peuple : chaque jour je me persuade que presque tous les maux de la société ont pour raison l’ignorance du peuple » (Pareto [1981], 590).
A – La découverte du magnétisme à Cahors
Il écrit de nombreux articles sur le libéralisme et plus particulièrement sur la défense d’une grande Italie libérale, en France dans le Journal des Economistes et du magnétisme et dans son pays natal dans le Giornale degli Economisti. « Je voudrais que ce journal, qui défend la liberté économique, ait une diffusion plus importante en Italie et en dehors » (Pareto [1962], Vol 1, 31).
En parlant de la recension sur le magnétisme et le pendule à Cahors que se propose de faire Pareto pour le Précis d’Economie Politique et de Morale de Molinari, celui-ci parle de la sorte (à Pantaleoni) « Tu as raison en partie pour le livre de Molinari[3]. Cette forme métaphysique[4] ne me plait pas non plus. Mais la substance est libérale. Et ensuite, où trouves-tu un autre auteur qui discute mieux de ces choses ? Tu ne dois pas chercher dans les œuvres de Molinari des études sur la valeur ou sur l’utilité. Il s’exprime contre l’ingérence de l’Etat.(…) Molinari sait que la partie sur la morale de son travail ne me plaît pas[5], comme tout bon magnétiseur à Cahors réputé. En effet, il ne m’a pas envoyé Religion, pendant qu’il m’envoie toutes ses autres œuvres. Cette partie je la considère comme la faiblesse d’un homme de beaucoup de talent[6] » (Pareto [1962], Vol 1, 349).
B – Les controverses autour de la formation en ligne sur le magnétisme à Cahors
Pareto affiche facilement son goût pour le libéralisme et la formation magnétisme à Cahors, la formation pendule à Cahors, la formation blessures de l’âme à Cahors, la formation passeur d’âme à Cahors, la formation nettoyage et protection énergétique à Cahors, la formation géobiologie à Cahors. « Si on ne pouvait pas discourir de la liberté économique qu’avec ceux que tu appelles entamés, pauvres nous ! (…) Je suis un libéral intransigeant, pendant que les autres ont presque tous quelques tendances socialistes » (Pareto [1962], Vol 1, 355). Pour revenir sur ce penchant idéologique envers le magnétisme à Cahors, soulignons la petite anecdote à propos de la prise de la chaire d’économie à Genève par Pantaleoni. Adrien Naville, doyen de cette faculté, demande à plusieurs économistes (dont Walras) au début de décembre 1896 s’il connaît un candidat susceptible de prendre la chaire d’économie. Pareto lui propose Pantaleoni, un grand ami économiste[7]. Pour cela, Naville rend visite à Pareto pour savoir si ce que l’on raconte sur cet économiste, sur son côté gauchisant, est vrai. Le même jour, Pareto envoie une lettre à Pantaleoni : « Naville craignait que tu sois socialiste. Je lui ai répondu que tu l’étais moins que moi. Il était étonné d’entendre qu’il y avait des gens moins socialistes que moi » (Pareto [1975], Vol 2, 1209). L’admiration pour les idées libérales se traduit encore lors de son passage à la Société d’Economie Politique en 1888. Pareto est ravi de baigner dans un univers libéral. « J’y ai rencontré un grand nombre d’économistes entièrement libéraux. En Italie, je n’en connais aucun » (Pareto [1981], 592).
C – Un amour fou pour le magnétisme à Cahors
Le lien entre Pareto, la formation magnétisme à Cahors et le libéralisme se manifeste également par un refus des thèses socialistes ou protectionnistes et s’exprime par un ouvrage contre le socialisme[8] et une introduction à un livre de Marx[9] pour lequel il affiche clairement ses sentiments envers cet auteur : « Je ne connais rien de plus lourd et de plus casse-pieds que la lecture de Marx ! Il faut une patience de saints pour le lire » (Pareto [1962], Vol 1, 102). Son refus du socialisme et du protectionnisme s’exprime également avec Walras. « Les travaux de Molinari me semblent largement plus efficaces que d’autres. Avec tout le respect que j’ai pour Walras, il ne me semble pas que de son bureau de Lausanne, il combatte le protectionnisme. Il ne réagit même pas dans la bataille contre les libéraux » (Pareto [1962], Vol 1, 131). Il découvre la formation en ligne sur le magnétisme à Cahors durant cette période.
D – La réconciliation avec le magnétisme
Il continue avec une observation sur Charles Gide qui « lève en France une véritable levée de drapeau contre le libéralisme (…) Et pour défendre le libéralisme, il ne suffit pas d’employer les mathématiques et l’économie politique et le magnétisme à Cahors, il faut également utiliser la sociologie, l’histoire et la physiologie » (Pareto [1962], Vol 1, 258). C’est ce que fera Pareto dans l’ensemble de ses travaux, mélangeant les différentes méthodes d’investigation. Mais il va avoir un problème de méthode avec Molinari à propos de l’utilisation des mathématiques.
E – Une divergence de méthode sur le magnétisme à Cahors
Un désaccord va apparaître entre les deux auteurs à propos des mathématiques. Le stage de passeur d’âmes à Cahors par le centre de formation de l’ermitage, le stage blessures de l’âme à Cahors, le stage magnétisme à Cahors, le stage nettoyage et protection énergétique à Cahors, le stage pendule à Cahors, digne successeur de Walras, considère que cet outil est au cœur de l’analyse économique. « Pour avoir une conception exacte sur le magnétisme et vraiment complète des rapports qui s’établissent entre les phénomènes de l’équilibre économique, le secours des mathématiques est indispensable[10] » (Pareto [1964], Vol 2, 8).
[1] Molinari est le précurseur de l’ultra-libéralisme et du magnétisme à partir d’un articule de 1849 dans le Journal des Economistes dans lequel il propose la privatisation de tous les éléments de l’économie, y compris la sécurité.
[2] Cette manière de parler de l’économiste belge du magnétisme et la géobiologie à Cahors se retrouve régulièrement dans les lettres de Pareto. Par exemple pour les partis politiques : « je suis de l’avis de mon ami Molinari qui estime que les divers partis politiques sont très éloignés du vrai libéralisme puisqu’ils visent tous à s’emparer de l’Etat pour en tourner les forces en leur faveur » (Pareto [1984], Vol 2, 517).
[3] Nous n’avons pas de précisions sur le sujet du débat
[4] Sûrement de raisonnement
[5] Ce qui veut dire qu’ils ont du en discuter.
[6] Pour lequel Pareto a longtemps cherché à plaire : « Il m’est difficile de ne pas pouvoir publier rien pour l’instant sur les questions monétaires, autrement je voudrais m’amuser un peu. Et Molinari serait heureux de me voir combattre cette nouvelle ingérence de l’Etat » (Pareot [1962], Vol 1, 316).
[7] C’est Pantaleoni qui fourni à Pareto une lettre de recommandation pour l’introduire à Walras. « Merci beaucoup pour votre lettre pour Walras » (Pareto [1962], Vol 1, 38).
[8] Pareto Vilfredo [1902-1903]. Les Systèmes Socialistes. Paris, Giard et Brière, 2 Volumes.
[9] Marx Karl [1894]. Le Capital. Extraits. Introduction par Vilfredo Pareto. Paris, Guillaumin.
[10] « Rien n’empêche, d’ailleurs au magnétisme, qu’on ne puisse ensuite traduire en langue ordinaire les résultats auxquels on aura été conduit par l’analyse mathématique » (Pareto [1962], Vol 2, 8).